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  • ANNÉES DE PRODUCTION : 2010 - 2011

    STUDIO : BONES / AUTEUR : SAKURABA KAZUKI

    GENRES : EGNIME & POLICIER / FANTASTIQUE & MYTHE

    DURÉE : 24 EPS 25 mins

    Synopsis : En 1924, dans un pays situé entre la France et l'Italie, Kazuya Kujô, jeune Japonais, vient d'intégrer une prestigieuse école, bien qu'il ne fasse pas partie de l'aristocratie… Est-ce la raison pour laquelle les autres élèves l'évitent ? Il fera néanmoins connaissance de Victorique, une fille au physique de poupée, avec de magnifiques et longs cheveux blonds et une pipe à la bouche, au caractère et à l'intelligence bien particuliers, retirée dans une serre au plus haut des étages de la bibliothèque… Il y a beaucoup de mystères dans ce pays, au point que ce dernier a même un ministère de l'Occulte ; et ce sera l'occasion pour nos deux héros de résoudre des affaires qui sont l'occasion de croiser un inspecteur assez étrange, lui aussi.

    Avis : Il est difficile de classer Gosick dans un genre particulier… En effet, tout commence par des enquêtes policières avec tout de même un certain humour fondé sur le tempérament plutôt caractériel, et néanmoins mystérieux, de la petite Victorique. Malgré son intelligence extraordinaire et un caractère totalement asocial, elle reste une petite fille sensible et maladroite. Elle est d'ailleurs très kawaii lorsqu'elle tente de masquer ses réels sentiments par son aspect autoritaire ou lorsqu'elle fond en larmes pour un simple bobo. Kazuya parviendra à l'« apprivoiser » à l'aide de sucreries. Il est plutôt un personnage discret mais courageux, fidèle envers ses amis, avec des relations difficiles au sein de sa famille et plein de bons sentiments, comme tout bon héros de shônen.
    Au fil des épisodes, on se rendra compte que toutes les enquêtes sont plus ou moins liées et nous dirigent vers la trame principale, le secret de l'existence de Victorique. Rien n'est laissé au hasard dans cet animé, tous les détails ont leur utilité. Et pourtant, l'histoire n'est pas si complexe que cela, et elle se dévoile tout au long des vingt-quatre épisodes. En commençant à regarder Gosick, jamais je n'aurais pu imaginer une telle fin ni un tel changement de registre.
    Pour ce qui est du character design, il est tout bonnement magnifique. Les expressions, les regards, les sentiments, les couleurs et l'ambiance fin XIXe-début XXe siècle, tout y est retranscrit à la perfection.
    Pour conclure, entre rire, drame, mystère, amour et humour, Gosick a tous les ingrédients pour plaire à un grand nombre de personnes… Qui plus est, la fin (plutôt pleine d'espoir) ne nous laisse pas sur notre faim, contrairement à beaucoup d'animés !


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